This article discusses the concept of “15-minute cities” and its application in Chile, highlighting the idea of bringing work, education, healthcare, and other amenities closer to people’s neighborhoods to reduce long commutes. The article emphasizes the potential benefits of this approach, such as improving quality of life, boosting the economy, and reducing emissions. It addresses the specific case of Santiago, where residents spend a significant amount of time on public transportation. The need for integrated urban planning, involvement of regional governments, and a focus on sustainable transportation modes are highlighted. The article concludes by emphasizing the importance of collaborative governance among local governments and considering factors beyond just electromobility to address health and inequality issues.
El artículo aborda el concepto de las “ciudades de 15 minutos” y su aplicación en Chile, destacando la idea de acercar el trabajo, la educación, la atención médica y otras comodidades a los barrios de las personas para reducir los largos desplazamientos. Se resaltan los posibles beneficios de este enfoque, como mejorar la calidad de vida, impulsar la economía y reducir las emisiones. Se aborda el caso específico de Santiago, donde los residentes pasan una cantidad significativa de tiempo en el transporte público. Se destaca la necesidad de una planificación urbana integrada, la participación de los gobiernos regionales y un enfoque en modos de transporte sostenibles. El artículo concluye enfatizando la importancia de la gobernanza colaborativa entre los gobiernos locales y considerar factores más allá de la electromovilidad para abordar problemas de salud e desigualdad.
L’article aborde le concept de “ville du quart d’heure” et son application au Chili, mettant en avant l’idée de rapprocher le travail, l’éducation, les soins de santé et autres commodités des quartiers des personnes afin de réduire les longs trajets. Les avantages potentiels de cette approche sont soulignés, tels que l’amélioration de la qualité de vie, la stimulation de l’économie et la réduction des émissions. Le cas spécifique de Santiago est abordé, où les résidents passent beaucoup de temps dans les transports en commun. Il est souligné la nécessité d’une planification urbaine intégrée, de la participation des gouvernements régionaux et d’une attention portée aux modes de transport durables. L’article conclut en mettant l’accent sur l’importance d’une gouvernance collaborative entre les gouvernements locaux et de prendre en compte des facteurs au-delà de l’électromobilité pour aborder les problèmes de santé et d’inégalité.
